Espace d'échange, de réflexion et d’expression commune
Pourquoi créer maintenant
une Plateforme de la médiation française ?
lire l'article, cliquer sur l'imageL’élaboration du « Code national de déontologie du Médiateur» puis la tenue du « Forum ouvert » ont montré la possibilité et l’utilité pour les fédérations ou associations représentatives de la diversité de la Médiation en France de pouvoir se rencontrer et mener à bien des projets communs au bénéfice de tous.
Désormais, il convient d’ouvrir la voie à la pérennisation et à l’approfondissement de cette collaboration par un espace de dialogue et de communication, respectant la diversité des formes de médiation et de leurs organisations spécifiques.
C’est la raison pour laquelle l’Association Nationale des Médiateurs, (A.N.M.), le Centre de Médiation et d’Arbitrage de Paris (C.M.A.P.), le Club des Médiateurs de Services au Public, la Fédération Nationale des Centres de Médiation, (FNCM), la Fédération Nationale de la Médiation et des Espaces Familiaux, (FENAMEF), France Médiation Réseau d’Acteurs de la Médiation Sociale, et l’Institut d’Expertise, d’Arbitrage et de Médiation, (IEAM), ont convenu de fonder la « Plateforme de la Médiation Française ».
Ils ont fixé à celle-ci les buts suivants :
- constituer un espace de rencontre et de discussion rassemblant des structures représentatives agissant dans les différents champs de médiation,
- adopter, soutenir et défendre des positions communes, notamment sur les évolutions du cadre juridique général de la médiation et les modalités pratiques de l’application de celui-ci, au plan national et européen,
- porter une parole commune auprès des interlocuteurs publics et privés,
- assurer la publicité de ses prises de position afin de concourir à la promotion de la médiation par des actions de communication.
La Plateforme pourra d’ailleurs se doter de moyens de communication propres afin d’assurer une communication conforme à ses objectifs.
La Plateforme fonctionnera, dans le cadre innovant d’une convention passée entre ses membres, dans le respect de l’autonomie ainsi que de l’indépendance d’action et de pensée de chacun d’entre eux.
Cet espace nouveau favorisera ainsi l’expression de positions communes sur des sujets faisant l’objet d’un accord général, dans l’intérêt supérieur du développement de la médiation en France et en Europe.